François Ansermet : Renaître au langage : d’un exil à l’autre

« …Au commencement était l’exil. L’enfant vient au monde étranger à lui-même et aux autres. La naissance peut ainsi être vue comme un premier exil.

L’enfant vient au monde inachevé, il naît marqué par l’incomplétude. Il est même le plus inachevé des vivants, potentiellement soumis à une détresse fondamentale.

Au commencement, donc, la séparation et l’exil, l’inachèvement et la détresse… »

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