En mars, au gré d’une journée de « retraite » vécue par le groupe de réflexions théologales de la Fondation, la Maison Josefa se questionne sur le potentiel « esprit » qui l’anime...

Quelques questions déposées en amont : Quel esprit est perçu, souhaité ? Avec qui l’engager et jusqu’où ? Et, enfin, selon quelle espérance ?

L’ambition de cette journée s’est située au guet de dimensions temporelles et spirituelles, avec le désir plus ou moins partagé par le groupe en présence, de penser, proposer un possible : en quelque sorte, identifier un esprit ressenti et inscrit dans la démarche Josefa qui pourrait nourrir une unité humaine transhistorique : « tous migrants ».

Est apparu également un fort questionnement autour de la mort : migration biologique, clé de passage vers un ailleurs…

Au final, le flux de notre expérience particulière s’est voulu un en soi au service d’un projet plus large, selon des critères situés et à recevoir. D’une certaine manière, il s’agit de regarder l’avenir en quête d’une unité « fondamentale » : là est le « Pour quoi ? »

L’étape suivante pourrait être, avec vous, si vous le souhaitez, de penser le « Comment » à l’aune de nos conditions(alités) de migrant.

A suivre selon des harmoniques spirituelles en voie d’unité harmonieuse.