Assignation à migration

Au gré de notre histoire, humaine, nous est proposé ici un arrêt, certes réducteur et subjectif, sur l’image de notre cheminement « commun »

Pensée classique (cf. économie actuelle). Qualification discriminante attribuée à certains : « les migrants » ; assignation à être « migrants » que certains défendent, accompagnent, veulent accueillir, protéger, promouvoir, intégrer ou qui leur veulent un droit à migrer… au nom, parfois, de quelque « romantisme » ou « pacifisme », alors que d’autres s’y opposent selon divers argumentaires dits, de manière réductrice également, « populistes » ou « nationalistes »

Percée Josefa : assignation à migration (cf. notre humanité). Vision Josefa : « Tous migrants » selon une approche voulue globale (physique, psycho-intellectuelle et spirituelle) pour chacune des personnes que nous sommes, pour chacun en son unicité, en privilégiant les dimensions culturelles et convictionnelles attachées à nos migrations.

Horizon de capacités. Réconciliation des approches « politiques » ! L’expérience personnelle et l’entrée transformatrice en « nos migrations » à la mesure de leurs forces de vulnérabilité vécue ou, au moins, recensées.

De fait, l’invitation de la Fondation Josefa, au gré de l’expérience et de la migration de la Maison Josefa, depuis 2015, se forge en s’affranchissant d’itinéraires migratoires prédéfinis, mais sans renier la mémoire de nos origines ou de nos traditions, aussi diverses soient-elles.

Pour Josefa, le moment est venu de convertir (notre regard sur) nos migrations : il y va de notre responsabilité (cf. assignation à migration) aujourd’hui et à l’égard des générations futures.  

Tous ensemble, migrants, en respect de l’unicité de chacun.