J’investis au bénéfice d’autrui

Aujourd’hui j’investis, demain il s’investit. Entre nous soit dit, j’ai investi dans une maison pour l’autre, l’étranger, le réfugié, celui…qui vient d’ailleurs.

En fait, il me semblait bien que je devais agir, que je pouvais agir, avec mes moyens, pour moi, pour mes enfants, pour lui. Alors, pour que cette nécessité devienne désir et réalité, j’ai commencé à apprécier le message de la Fondation Josefa m’encourageant à croire que l’hospitalité, bien gérée, est porteuse d’intérêt(s). Mon calcul est simple :


j’investis, il s’investit au cœur de notre cité, et ensemble nous gagnons : de l’espace, du temps et de la fiscalité, renouvelés.

Garantie de notre enrichissement commun

Tant au titre d’« Utilité Publique » que de choix stratégique, la Fondation Josefa se propose d’assumer un rôle fiscal.
Les apporteurs de ressources financières comme les apporteurs de ressources humaines doivent pouvoir bénéficier du jeu fiscal positif opéré. En résumé, un investissement immobilier (titre ou droit) dans la Maison Josefa, pour une exploitation éthique et durable, devient profitable à une gestion patrimoniale créative, en ce sens qu’elle offre la garantie d’un enrichissement commun.

De quel prix est la vie, sinon pour la partager

En famille ou personnellement, j’éprouve le sentiment de donner davantage de sens à ma vie en contribuant financièrement à la pro-vocation qui m’est faite : la Fondation Josefa m’apporte l’opportunité d’acquérir une part immobilière de qualité au sein de la Maison Josefa. Ce geste m’offre de partager un espace, du temps, avec ma famille, avec mes collaborateurs ou partenaires, auprès de réfugiés.

Ainsi, en partageant les ressources de ma propre vie, je lui donne davantage de prix, à mes yeux et aux yeux d’autrui.

Concilier mes ambitions sociétales et mes flux financiers

Comment conjuguer mes placements financiers et mes ambitions sociales ou sociétales ?

Comment porter plus avant mon sens du mécénat face aux enjeux de la migration ? Sans doute, s’agit-il d’élever mon regard au-delà d’un retour trop attendu : celui d’un décaissement sécurisé, qui veut avant tout favoriser le rendement d’un juste mécénat, à peu de risque. Dès lors, la Fondation Josefa propose d’investir dans une « obligation » aux couleurs d’impact social, au service de l’intérêt « migratoire ». En quelque sorte, de l’Utilité Publique bien gérée : au service d’un fonds commun…social.

 De quel prix est la vie, sinon pour la partager

Contributeur privé, seul ou en famille, j’ai envie de donner du prix, du sens à ma vie en contribuant financièrement à une pro-vocation qui m’est faite : la Fondation Josefa me donne l’opportunité d’investir, avec d’autres, dans une part d’espace de la Maison Josefa ou dans un partage du temps en faveur de réfugiés qui veulent s’insérer auprès de nous.  

J’achète un espace, je partage du temps, je valorise mon geste fiscal

En contribuant à la construction de la Maison Josefa, je peux jouir d’allègements fiscaux accordés à une Fondation d’Utilité Publique et bénéficier d’avantages réels :

  • obtention d’un titre ou d’un droit immobilier à un tarif préférentiel,
  • valorisation du bien immobilier à moindre coût à la mesure d’une vocation d’habitat aux accents sociaux,
  • participation à un projet très structuré présentant des gages de réussite.

La Fondation Josefa me propose un espace, du temps et de la fiscalité justement partagés.